Olivia : Un jour en 2015, ma première caméra à la main, j'ai décidé de faire un « film sur Anne ». Riche de mon expérience comme élève, comme femme et comme témoin de la transformation des autres femmes sous les mots, le regard et les gestes d'Anne, j'ai souhaité montrer cette facette de son travail.
► Visionner Femmes qui dansent, le documentaire d’Olivia Zarcate (56:00)

La picotiÈRE 2023

Michèle : De retour du stage, je suis encore pleine des musiques inspirantes qui nous ont portées ; Anne réussit toujours à dénicher des pépites et/ou à nous faire approfondir des airs connus. Ce stage fut intense, joyeux, tranquille, amical - le lieu apaisant et l’accueil de nos hôtes ayant aussi largement contribué à notre quiétude et à notre confort. Mention spéciale pour la cuisinière qui a réussi à régaler les plus difficiles ! Merci Anne pour cette parenthèse ressourçante et vivement La Picotière 2024 !

Marie-Christine : Merci Anne pour ce magnifique stage d’été ! Ton exigence nous a stimulées et poussées à sortir de nos craintes, habitudes ou facilitées. Ta confiance dans nos capacités à évoluer nous aide à nous dépasser et à profiter encore plus de la joie de danser ! J’ai particulièrement aimé les musiques choisies qui nous ont littéralement portées à l’improvisation, pratique à laquelle tu nous inities ; n’est-ce pas aussi un aspect fondamental de la danse orientale ?!

Joelle : Anne est une prof exceptionnelle qui vous transmet son amour de la danse orientale et de la musique avec beaucoup de douceur, de bienveillance, mais aussi d'exigence. Son regard est juste et précis. Son travail sur l'intériorité et l'écoute est passionnant. Le stage à la Picotière a été un pur moment de bonheur.

Corinne : Danser avec Anne Benveniste, c’est s'immerger dans une bulle, cinq jours durant, et comprendre que le mouvement n’est pas un but en soi, mais un chemin. Que la technique est indispensable, mais non suffisante. Que la danseuse met son corps au service de la musique. L’élève apprend à sculpter l’air sous l’attention bienveillante d’Anne, à la fois artiste et enseignante. Ce travail en profondeur, dans le plaisir, laisse son empreinte même une fois achevé. Et donne l’envie du stage d’après.

Chantal : Anne nous accompagne toujours plus loin en nous-mêmes pour faire émerger notre créativité dans la pureté et la sobriété du mouvement dansé. La rigueur de ce chemin n’enlève rien à la joie de l’instant, la joie de la danse, des féminins qui s’entrelacent et se tissent sur la grande toile du vivant. Merci Anne pour ta qualité d’être et d’ouverture, ton exigence bienveillante et la subtilité de ton enseignement, qui permettent que s’opère l’alchimie de ces précieuses rencontres.

  • Marie-Christine : De retour, mais pas tout à fait… Cette semaine de stage au Caire continue à diffuser son charme et ses surprises. Le Shepheard, notre hôtel Art Déco mythique, tout au bord du Nil, sa salle de bal au dernier étage entièrement vitrée, au dessus de la ville et d’un méandre du fleuve. Quel lieu pour danser tous les jours ! Et de quelle manière ! Des musiciens virtuoses, de vrais cairotes, qui sous ta houlette et ton art Anne, nous emmenaient au-delà de nous- même. C’est une vraie différence de sensations et d’émotions par rapport à un enregistrement si magistral soit-il. Ne parlons pas des spectacles tous les soirs, de la petite salle de quartier à l’Opéra du Caire, de la danse et encore de la danse. Ne parlons pas non plus des visites de cette ville fascinante. D’ailleurs, j’ai du mal à croire que nous avons eu le privilège de vivre cette sorte de rêve. Hors du temps. Et pourtant si ! Merci et merci.

  • Sylvie : Ce fut… plus que MAGIQUE: En voyant photos et vidéos, vous ne pourrez que rêver à la prochaine croisière. Écoutez les musiciens, jouer pour nous – rien que pour nous –, regardez ces princesses d’Orient (c’est nous !) danser sur le pont de la Dahabeya, puis levez les yeux vers l’horizon et… le Nil vous enchantera ; le Nil, tranquille, ses berges, verdoyantes, et au fond… le désert… Taha, à la flûte et Hamada au oud nous ont donné des ailes, Amir à la percu assurait notre maintien au sol (sinon, qui sait où nous serions maintenant ?), Mohamed, notre chanteur de charme, a velouté tous ces rythmes de sa voix chaleureuse… Et puis, nous avons même parlé aux pharaons !!! mais oui ! A Edfu, Kom Ombo et Philae, Marie-Christine nous a présenté ses copains : Horus, Hathor, Isis et bien d’autres encore !! Nous avons eu des révélations sur la vie secrète de ces divinités… « Chef Anne » (c’est son nom en Égypte) nous a guidées, entrainées, étirées, décoincées, toujours avec patience et bienveillance.
    Gamal, notre hôtelier et ange gardien a veillé sur nous du 1er au dernier jour. Et tant et tant de choses à dire encore mais je dois m’arrêter pour garder un peu de mystère… ALORS, MERCI À TOUT CE GROUPE, danseuses, musiciens, prof, accompagnants, ce fut… EXCEPTIONNEL… Oh, je voudrais bien repartir bientôt… Dis Anne, pour quand le prochain voyage ?

  • Caroline : J’ai eu l’occasion de faire un stage à Louxor et en un mot je dirais que c’était « magique » ! Se retrouver en Egypte avec des musiciens extraordinaires, venus du Caire et de Louxor c’était simplement inoubliable. Anne propose un stage intense pendant une semaine, on a toujours une préparation d’une heure de barre au sol et ensuite pendant 3 heures, tous les jours, de la danse avec la présence continue des musiciens. Lors de ce stage, Anne nous fait travailler tous les styles (shaabi, sharki, baladi) et dirige les musiciens avec brio pour pouvoir aussi offrir des moments d’improvisation guidée avec les musiciens. Faire ce stage en Egypte donne vraiment corps à tout ce que nous découvrons toute l’année en cours à Paris, et dans un cadre idyllique en plus !